L'humour Juif

Selon Marc Alain Onaknin et Dory Rotnemer :
"La bible de l'humour juif"
Ed J'ai lu.

_ Alors, vous me l'achetez, ce livre ?
_ Je le lis, et je vous réponds...

Le vieux Moshé harcèle Dieu à la synagogue :
_ Seigneur, qu'est ce que c'est, pour toi, mille ans ? Une minute !
Qu'est ce que c'est pour toi, un million ? Un centime !
Seigneur, fais-moi cadeau d'un centime !
Une voix lui répond :
_ Attends une minute !

Et comme dirait Woody Allen (citation) :
" Si Dieu n'existe pas, alors j'ai payé ma moquette trop cher !"

Quelle est la définition d'une mère juive ?
_ Une mère juive, c'est quelqu'un qui se lève pour que son enfant retrouve son lit fait quand il va faire pipi au milieu de la nuit.


Il n'est pas indispensable d'être juive pour être une mère juive.

Trois mères juives se rencontrent. La première fait :
_ Ah !
La seconde :
_ Oooh !
Alors la troisième :
_ On avait décidé qu'on ne parlait pas des enfants aujourd'hui !

Une femme vante les mérites de son fils à une amie :
_ Mon fils, le médecin, (l'autre est généralement avocat), est vraiment un excellent praticien, tu devrais aller le consulter !
_ Mais je n'en ai pas besoin, je ne suis pas malade !
_ Eh bien, va le voir, il est si doué qu'il te trouvera forcément quelque chose !


Mon fils, rassure-moi :
est-ce que tu es encore circoncis ?

Par une calme soirée d'hiver, une mère juive attentionnée (pléonasme) et son fils d'une quarantaine d'années, devisent dans le salon.
_ Mon fils, dis-moi, je voudrais te poser une question.
_ Bien sûr, m'man.
_ Mon fils, si un jour tu rencontres une jeune fille, si elle te plaît et que tu l'épouses, tu continueras à venir me voir ?
_ Bien sûr, m'man !
_ Et si ta femme, elle ne m'aime pas, est-ce que tu continueras à venir me voir ?
_ Bien sûr m'man...
_ Et si ta femme, elle veut me faire du mal, parce qu'elle est jalouse de moi, tu continueras à venir me voir ?
_ Oui, m'man...
_ Mon fils, je peux te poser une dernière question ?
_ Bien sûr, m'man.
_ Pourquoi veux-tu épouser une fille qui, sans même me connaître, me déteste déjà autant, pourquoi ? Pourquoi ?

Rachel, jeune épouse desespérée, rend visite à son médecin.

_ Ah docteur, je n'en peux plus, malgré tout ce que je fais, mon mari ne daigne même pas me regarder. Il n'arrête pas de me parler de sa mère, sa mère, sa mère ! Et moi, je n'existe pas pour lui !
_ Vous avez essayé de lui cuisiner de bons petits plats ?
_ J'ai tout essayé docteur, croyez moi, rien ne marche, je suis vraiment découragée.
_ Ecoutez, j'ai une idée : il y a un domaine où votre belle-mère ne peut pas rivaliser avec vous : le lit.
Pour ce soir, vous allez mettre des sous-vêtements noirs très sexy, avec un porte-jarettelle noir.
Vous allez vous maquiller avec beaucoup de soin, une ombre à paupière sombre, de longs faux cils interminables, un rouge à lèvres noir.
Vous allez changer les draps de votre lit, mettez-en des noirs. Parfumez-vous avec son parfum préféré et mettez des roses noires dans un vase. Dans cette ambiance, il ne pourra plus vous resister.

Rachel suit scrupuleusement tout le programme : le maquillage, la mise en scène, le décor, elle n'oublie rien, jamais elle n'avait été aussi volupteuse et excitante.

Son mari arrive, et devant ces surprises inattendues, son étonnement va croissant.
A la fin, il ne peut plus se contenir et s'écrie :
_ Rachel, tout ce noir !!!
Il est arrivé quelque chose à ma mère ?

Je déteste la religion.
J'aime pas ces engouements qui poussent les êtres humains à sortir de leurs gonds.
Ca décime des races entières et moi, je me souviens que j'étais catho, un temps.

Pourquoi ?

Tout simplement parce mon lycée n'était pas mixte (Le lycée La fontaine, dans le seizième art).

Alors j'allais rencontrer des garçons à la paroisse attenante.

Un comble, non !

Pour me faire plaisir, entourée de garçons qui me flattaient et me reluquaient, j'allais à la paroisse et m'envoyais l'hostie le dimanche.

Remarque, il y avait des afters, et c'est ainsi que j'ai connu Chritophe Mallard, mon petit cierge pour la communion.

Ah comme j'étouffais pas dans cette toge blanche, mais j'ai eu des cadeaux, de la famille...

Mon oncle... Celui qui m'avait embrassé dans mon lit gigogne à huit ans, s'est fendu d'une fausse barbie que j'ai refilée illico.

Même à onze ans, on est déjà drôlement costaud.

Moi, la religion, j'aimais pas ça, à cause de la St Barthélémy.

Informée en huitième, moi, j'ai dit niet. (Je rappelle, le massacre infame catholiques/ protestants).

Ca m'a beaucoup marquée.
Je ne rentre pas dans ce circuit infame de la guerre des races.

J'ai épousé Jean, le père de mes fils, juif.
Et je fréquente un juif depuis quatre ans et on ne se lache pas d'une semelle.

Et j'adore le bar d'Ali, l'arabe, d'ailleurs j'y fonce car les mélanges de genres me détend.
Il faut parler de tout ça, il faut parler de tout ça.

Je reviens de chez Ali, j'ai passé du bon temps mais j'en ai marre de mes seins.

Ils sont vachement trop gros pour moi, ils me pèsent.

Ah j'en peux plus, ils me font mal, qu'on me les...
Rabottent ?

j'penche en avant, j'en ai reellement marre de ces mamelles omniprésentes.

Conviennent pas à ma taille 36/38 et merde, j'ai mal, comme si on m'avait planté un arbre dans le décolleté.

Thierry va me lire, à tous les coups

Et bien salut !

J'en peux plus de ma grosse poitrine.

RV l'année prochaine, offre moi des sous tif taille 40 !

J'envoie de nouveau sur l'humour juif (mes seins n'étaient qu'une apparté mais vrai qu'ils me pèsent devant l'ordi)

J'ai remarqué que dans ce bouquin, ils écrivent "juif" sans majuscule, mais "Dieu" avec une majuscule.

Ben non, à partir du moment où on met une majuscule à "Dieu", faut en mettre une à "Juif".

Illana amène son petit bonhomme à la plage, s'installe sous le parasol et :
_ Jérémie, ne va pas à l'eau, tu vas te noyer !
_ Jérémie, ne joue pas avec le sable, tu vas t'en mettre plein les yeux !
_ Jérémie, viens sous l'ombrelle, tu vas attraper un coup de soleil !

Puis, se tournant vers une autre femme installée à côté d'elle :
_ Oh, comme il est nerveux, cet enfant !

_ Allo maman, ça va ?
_ Très bien, mon fils, merci.
_ Oh ! excusez-moi, c'est une erreur.

Rouh'ama et Esther se rencontrent après de nombreuses années.

_ J'ai appris que ton fils s'est marié, mazel tov ! commence Esther.
_ Oïe, ne m'en parle pas ! Une catastrophe ! Sa femme ne fait rien de la journée. Elle commence par une grasse matinée, mon fils lui apporte le petit déjeuner au lit, elle ne sait pas faire la cuisine, même pas débarrasser la table ! Elle se prélasse à longueur de journée !
_ Ma pauvre, compatit Esther. Et ta fille ? Elle est mariée ?
_ Ah ma fille ! Elle est vraiment bien tombée, elle. Son mari est a-do-rable !
Il lui apporte le petit déjeuner au lit, il ne la laisse pas faire la cuisine, ni le ménage.
Elle peut se reposer et s'occuper d'elle-même !

Un garçon est parti en Afrique parachever une enquête pour son doctorat d'anthropologie.

Avant de rentrer chez lui, il téléphone à sa mère.
_ Ah ! Mon fils, comment vas-tu ? Comment ça va ? Tu vas bien ? Pourquoi tu m'appelles pas ?
_ Ca va maman, je vais rentrer.
_ D'accord mon fils, bienvenue à la maison. Quand ça ?
_ Maman, je me suis marié.
_ Mazel tov, mon fils, j'en suis très heureuse ! Tu aurais pu me prévenir, je serais venue t'embrasser, je t'aurais fait une fête, un mariage, c'est important quand même !
_ Elle est noire maman.
_ Et alors, elle est noire ? On est pas raciste, nous. Il ne manquerait plus que ça ! Bienvenue à ta femme ! Tu l'as choisie, c'est l'essentiel.
_ Maman, elle a quatre enfants.
_ C'est super, quatre enfants, c'est la vie, les enfants, ça veut dire qu'elle est féconde, tu auras des garçons mon fils, qui porteront ton nom ! alors, quand tu viens ?
_ La semaine prochaine, on ira à l'hôtel pour ne pas vous déranger.
_ Comment ! Me déranger ! On n'a pas une maison pour t'accueillir ? Toi et ta femme dans notre lit, papa sur le canapé du salon, les enfants dans la chambre de ton frère qui est parti en vacances.
_ Mais maman, et toi ? Tu as trouvé de la place pour tout le monde, sauf pour toi !
_ Moi, mon fils, Je raccroche et je meurs !

Quelle est la différence entre un terroriste et une mère juive ?
_ Avec un terroriste, on peut négocier.

Un homme entre dans un commissariat :
_ Monsieur l'agent, je suis passé hier pour signaler la disparition de ma belle-mère.
_ Oui, je me rappelle très bien, nous avons déjà commencé les recherches.
_ Arrêtez tout, monsieur l'agent, ce n'est plus la peine.
_ Pourquoi ? Vous l'avez retrouvée ?
_ Non, monsieur l'agent, mais j'ai réfléchi.

Mme Assouline revient de Vichy.
Son mari l'attend à la gare.
_ Bonjour, mon trésor.
_ Bonjour, ma chérie, tu as une mine superbe ! as-tu bien voyagé ? Tu as été fidèle ?
_ Mais chéri, comme tu me l'as été !
_ Eh bien alors, ma chérie, c'est la dernière fois que tu pars en cure, je te le promets !

Emile, de retour d'un voyage d'affaires, réalise que sa femme ne lui a pas été fidèle.
Il est furieux :
_ Qui était ce ? gronde-t-il. Ce faux jeton de Lionel ?
_ Non, ce n'était pas Lionel.
_ Alors c'était Danny, cet hypocrite ?
_ Non, ce n'était pas lui non plus.
_ David, ce raté ?
_ Non plus.
_ Alors quoi ? Hurle Emile, aucun de mes amis n'est assez bien pour toi ?

Quelqu'un disait un jour à Ch'ba :

_ Maître, ta femme va d'une maison à l'autre.
_ Bravo, s'il en est ainsi, elle réussira bien à arriver aussi chez moi.

Sam rentre à la maison de son travail à l'improviste et trouve sa femme au lit avec son meilleur pote Ali :
_ Ali, tu m'étonnes ! Moi, encore, je suis obligé, mais toi ?

Un vieux juif entre dans une bijouterie pour acheter un cadeau à sa femme.
Il repère un crucifix en argent étincellant.
_ Combien coute-t-il ?
_ Trois mille francs, répond l'employé.
_ Hmmmm, reprend le juif, et sans l'acrobate ?

Mr et Mme Rothschild se retrouvent à une brillante réception en compagnie de tout le gratin du monde juif et de toute une série de jolies filles.
Mr Rothschild met son épouse au courant :
_ Tu vois celle-là ?
_ Oui ?
_ C'est la maîtresse de Meyer.
_ Elle a les dents tordues.
_ Et celle-là ?
_ Oui ?
_ C'est la maîtresse de Blum.
_ Elle est trop maigre.
_ Et celle-là, tu la vois ?
_ Oui ?
_ C'est celle de Kaminski.
_ Elle a une tête de singe. Et la tienne, où est-elle ?
_ C'est celle-là.
_ Tu veux que je dise, Rothschild, c'est la nôtre la mieux.

Victor entre dans un magasin d'articles de luxe. Il s'adresse au vendeur :
_ C'est l'anniversaire de ma femme, je voudrais lui offrir le plus beau stylo Mont Blanc.
_ Ce sera une surprise, hein ? Dit le vendeur.
_ Certainement, elle attend une rivière de diamants !