Georges Brassens : un jour j’ai reçu un CD de Brassens en cadeau d’anniversaire. Le CD est parti à la poubelle, sitôt la fête finie. Il n’est même pas passé par la case lecteur de CD. Je ne l’ai pas dit à mon gentil donateur, bien-sûr.
Pour moi Brassens est l’archétype de la chanson faisant consensus dans la sphère nostalgique mais embourgeoisée de la révolution d’opérette de 1968. Exit donc ces chansons faussement subversives aux mélodies répétitives et soporifiques, encensées par Michel Drucker et autres flagorneurs des rebelles en pantalon de velours avec pipe en bois. La subversion aujourd’hui c’est NTM. Avec Joey Starr, au moins, le message est clair. L’impossibilité de druckériser des « artistes » comme NTM me plait bien.
Mais sait-on jamais ?
Yannick Noah : grâce à lui, je n’écoute plus RFM.
Finalement gagner Rolland Garros, c’est vachement plus facile que de savoir faire un tube.
Le système Noah-RFM : un cas d’école pour les études de marketing. Comment enfoncer dans le crâne d’ innocents auditeurs à coup de sonnettes de battage (utilisées dans le BTP pour installer des barrières de sécurité), les chansons d’un chanteur sans voix et sans imagination mais renommé grâce sa carrière sportive ?
Non à la torture !!!!
Patrick Bruel : Qu’il ne casse surtout pas la voie de garage qui l’amènera vers la sortie. Qu’il se casse du cinéma. Ce type est simplement insupportable.
Isabelle Boulay : Du Brassens québecois au féminin…. Pffff ! Même pas belle en plus, cette grande sauterelle toute en os avec de grandes ratiches.
Céline Dion : Merde, j’ai déjà du mal à me débarrasser de mes acouphènes, je ne veux pas aggraver ma pathologie auditive. Sinon, quand cette femme ferme la bouche, je la trouve charmante.
Michel Berger : Dans le genre cul-cul la praline, je crois qu’il a du donner des cours à C. Jérome et à Peter et Sloanne. J’ai encore un souvenir téloche où, avec France Gall, ils sont habillés tous les deux pareils, tout en blanc, côte à côte sur un piano à jouer leur guimauve en se lançant des regards langoureux. Lui avec un petit foulard bleu autour du cou, elle, un petit foulard rouge et tous les deux coiffés d’une casquette de Gavroche blanche, bouffante et bouffonante, d’un ridicule à se rouler par terre. Ah ça, Michel Berger, avec son petit costume blanc et sa petite casquette « mode à la con », on ne risquait pas de le confondre avec un Légionnaire du 2ème REP (Régiment Etranger Parachutiste), ni même avec un chasseur alpin du 12ème BCA de Briançon (pourtant en tenue blanche eux aussi).
France Gall : elle me donne le mal de mer à secouer la tête dans le poste comme ça. Essayez de la regarder en coupant le son, les nausées arrivent brutalement.
Johnny Halliday : Mais pourquoi ne tient-il en équilibre que les pieds écartés de 130 cm ? OK, ça agrandit le polygone de sustentation mais faut pas éxagérer quand-même !
Ça rapetisse en plus cette position. Nul !!!!
Les chansons originales sont bien meilleures que les copies ( Black is Black , House of the Rising sun ,… ).
Bien qu’il ait voté Sarkozy, ce mec est con comme un balai en plus. J’aimerais bien lui demander de diviser par 3 d’un multiple de 3 justement, mais plus grand que 100, rien que pour rigoler.
Pour tous ces chanteurs, je suis prêt à payer pour ne plus jamais les entendre.